GÉNÉRALITÉS |
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Début 8h30 |
Q1• Maltraitance : L’évolution
historique du concept.
Quels sont les aspects sociologiques et juridiques ? X.
Labbee (Lille) |
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Q2• Quels sont les différents types
de maltraitance ?
Définitions - Généralités - Epidémiologie
• Sévices d’action • Sévices psychologiques
• Sévices par omission • Mort suspecte
• Quels systèmes de surveillance W. Faict
(Clermont-Ferrand) |
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Q3• Quels sont les aspects sociaux, ethniques
et les facteurs de
risque (vulnérabilité individuelle et environnementale)
D. Girodet (Paris) |
ENFANTS |
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Q4• Traumatologie et maltraitance chez
le petit enfant :
Quels sont les principaux motifs de recours ?
Quelles sont les caractéristiques des pathologies traumatiques
liées à la maltraitance ? Quels sont les signes d’alerte
? C. Mignot (Paris-Necker) |
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Q5• Quelles sont les manifestations somatiques
liées à
la maltraitance chez l’enfant : (syndrome de Munchausen,
empoisonnement, plaintes fonctionnelles...).
Quelle prévention et quel repérage peut-on envisager
en
rétrospective ? Quel est le rôle du médecin traitant
et/ou des
structures de PMI ? F. Hochart (Lille) |
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Q6• Quelles sont les manifestations d’ordre
psycho-comportementale
liées à la maltraitance chez l’enfant ?
C. Vidailhet (Nancy)
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ADULTES VULNERABLES (âge,
déficience physique et/ou psychique, grossesse) |
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Q7• Quels sont les troubles liés
à la maltraitance chez l’adulte
vulnérable ? p. giannakopoulos
(Genève) |
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Q8• Quelles sont les manifestations d’ordre
psychique et/ou
psychiatrique liées à la maltraitance chez l’adulte
vulnérable ? L. Daligand (Lyon) |
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Q9• Appreciation de la veracite : Devant
la révélation d’une
maltraitance, quels éléments peut-on retenir pour l’apprécier
? E. Baccino (Montpellier) |
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Q10• Mort suspecte (tout âge) :
Quand doit-on suspecter une mort
suspecte chez l’enfant ou chez l’adulte dans le contexte
de maltraitance ? B. Marc (Paris)
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PRISE EN CHARGE AUX URGENCES |
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Q11• Le secret professionnel peut-il être
levé dans le cas de
la maltraitance ? J-F . Segard (lille)
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Q12• Quels sont les aspects relationnels
avec le patient suspect
de maltraitance, avec la famille et les accompagnants ? Quel est
le rôle de l’ide aux urgences dans ce contexte ?
M. Poot (Bruxelles) |
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Q13• Quelle est la place du psychiatre
dans la prise en charge de
la maltraitance ? Quel et le rôle des umj dans les relations
avec le
service des urgences dans la prise en charge de la maltraitance ?
Quels en sont les intérêts, les limites ?
N. Dantchev (Paris) |
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Q14• Quand faut-il proposer une hospitalisation
en cas de doute
sur maltraitance (hors uhcd) ? Quelle est la conduite à tenir
en
cas de refus ? G. Potel (Nantes) |
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Q15• Quel est le rôle de l’assistante
sociale : Avant la sortie du
patient, orientation vers les services sociaux, les lieux d’accueil
provisoire, les associations. Quelles informations donner avant la
sortie du patient ? M. Jarrige (Aurillac) |
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Q16• Comment rédiger les certificats
à la sortie des services
d’urgence ? Quelle itt et comment l’évaluer ? A
qui peut-on
référer le patient en cas de difficulté ?
B. Coudert (Versailles) C. Mauger
(Meulan) |
Fin 18h00 |
Q17• Aspects judiciaires : Quelle
est la place du procureur dans la
prise en charge de la maltraitance en situation d'urgence? Quand faire
appel au procureur ? Quels sont les renseignements que le médecin
urgentiste est en droit de fournir au procureur ? MC.
Jamain (Roanne) |
Question 1 |
QUELLES SONT LES DONNEES EPIDEMIOLOGIQUES
? 1• Quels sont les différents
types de maltraitance ? 2• Quelles
sont les données épidémiologiques concernant
la maltraitance
en dehors de la maltraitance sexuelle ? 3•
Existe-t-il des facteurs de risque personnels ou environnementaux
? |
Question 2 |
DEPISTAGE ET DIAGNOSTIC D’UNE MALTRAITANCE
1• Quand évoquer une maltraitance
chez l’enfant traumatisé ? 2•
Quels troubles psycho comportementaux doivent faire évoquer
une
maltraitance chez l’enfant ? 3•
Quels sont les patients adultes vulnérables ? 4•
Sur quels éléments anamnestiques et sur quels signes
somatiques
envisager une maltraitance chez les adultes vulnérables ?
5• Sur quels troubles psychiques
et comportementaux évoquer une
maltraitance chez les adultes vulnérables ? 6•
Existe-t-il des spécificités chez la personne âgée
? 7• Quand évoquer une
mort suspecte ? |
Question 3 |
PRISE EN CHARGE DE LA MALTRAITANCE AUX URGENCES
(à l’accueil et en Unité d’Hospitalisation
de Courte Durée) 1• Dans
quelles conditions et pour qui le secret professionnel n’est-il
plus opposable ? 2• Comment gérer
la relation avec la victime et les accompagnants ? 3•
Quel est le rôle de l’assistante sociale dans la prise
en charge initiale ? 4• Quel
est le rôle du psychiatre dans la prise en charge initiale ? |
Question 4 |
QUELS SIGNALEMENTS ? QUELLE ORIENTATION APRES
LES URGENCES ? POUR L’ENFANT
1• Quels sont les critères
d’hospitalisation de l’enfant maltraité ? 2•
Quelle est la conduite à tenir en cas de refus parental ?
3• Quelle prise en charge faut-il
initier en l’absence d’hospitalisation ? POUR
LES ADULTES VULNERABLES 1•
La notion d’incapacité influence-t-elle la prise en charge
? 2• Quelles sont les conditions
nécessaires au retour à domicile ? 3•
Quelle prise en charge faut-il initier en l’absence d’hospitalisation
? |
Question 5 |
ASPECTS MEDICO-LEGAUX 1•
Quelle est la place des magistrats ? 2•
Quel est le rôle des légistes et des services d’urgences
médico-judiciaires ? 3•
Quels certificats faut-il établir aux urgences et sous quelles
modalités ? |
11ème
Conférence de Consensus |
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JURY |
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B. Bedock (Président)
JF. Ampélas (Psychiatre)
A. Boye (Médecin Généraliste)
D. Favreau (Urgentiste)
JP. Fontaine (Urgentiste)
F. Joye (Médecin Régulateur)
S. Meyran (Urgentiste)
Y. Nicol (Assistante Sociale)
Dr Picherot (Pédiatre)
F. Puisieux (Gériatre)
D. Purper (Pédopsychiatre)
C. Richeter (Infirmière)
F. Rottner (Urgentiste)
PM. Roy (Urgentiste)
N. Telmon (Légiste)
En cours de confirmation (Procureur) |
Annonay
Aix-en-Provence
Nantes
Rennes
Paris
Carcassonne
Brest
Lyon
Nantes
Lille
Paris
Grenoble
Mulhouse
Angers
Toulouse
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GROUPE DE BIBLIOGRAPHIE |
|
H. Alipour Milajerdi
L. Baudin
F. Briand
S. Cavare Vigneron
C. Cholet
M. Cristiano
S. Dufraise
F. Fritsch
K. Humbert
G. Kierzek
F. Maillet
S. Masse
A. Muller
V. Scolan |
Saint-Brieuc
Cholet
Argenteuil
Vandœuvre-Lès-Nancy
Clichy
Lons-le-Saunier
Aurillac
Hénin-Beaumont
Hénin-Beaumont
Paris
Saint-Michel
Saint-Michel
Nancy
Grenoble |
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COMMISSION DE CONSENSUS |
|
Ph. Lestavel
P. Lebrin
F. Carpentier
A. Ficarelli
H. Lambert
E. Jehle |
Hénin-Beaumont
Bry-sur-Marne
Grenoble
Bry-sur-Marne
Nancy
Angoulème |
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CONSEILLERS SCIENTIFIQUES |
|
H. Cardot
JC. Ducreux |
Paris
Roanne |
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COMITÉ ORGANISATEUR |
|
A. André
B. Bedock
F. Berthier
F. Carpentier
V. Debierre
Ph. Le Conte
P. Lebrin
Ph. Lestavel |
Nantes
Annonay
Nantes
Grenoble
Nantes
Nantes
Bry-sur-Marne
Hénin-Beaumont |
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AVEC L’AIMABLE PARTICIPATION DE |
La Société Française de Gériatrie
et Gérontologie
La Société Française de Pédiatrie
La Fédération Française de Psychiatrie
SAMU DE FRANCE
SAMU 95
La Société Française de Médecine
Légale
AFERUP
Association Francophone pour l’Etude et la Recherche
sur les Urgences Psychiatriques |
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